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    « La propagande est le contraire de l'artillerie : plus elle est lourdemoins elle porte. »

    de Jean Giraudoux

     

     

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    Dans tout conflit, les personnes impliquées s'attaquent sous plusieurs formes. On a qu'à penser aux conflits armées, qui opposent deux camps qui s'attaquent, mais au-delà des attaques physiques, il y'a un autre arme utilisé, avec plus ou moin de portée en force: la propagande. Dans un conflit, 90% des faits et gestes se font sous forme de propagande. La propagande est un outil formidable sur le plan médiatique. Le plus souvent, sont utilité réside dans le fait de rechercher des appuis pour soi, ou tout simplement désciditer son adversaire.

     

     

    Historique de «propagande»

    Aussi bizzare soit-il, le terme «propagande» provient de la religion chrétienne, plus précisement d'une  congrégatiion créée par le pape Grégoire XV(lien ) sous le nom de «Congregatio de propaganda Fide»(lien). En d'autres termes, l'histoire de ce mot revient à la propragation de la fois. 

    propagande-histoire:(lien)

     

    La propagande moderne

    La propagande désigne un ensemble d'actions psychologiques influençant la perceptionj publique des événements, des personnes ou des enjeux, de façon à endoctriner ou embrigader une population et la faire agir et penser d'une manière voulue. -source wikipedia

    En d'autres termes, la propagande est le fait de médiatiser tels et tels faits et gestes, afin que la population en vient à penser comme que l'on veut. La propagande est beaucoup utilisé en temps de guerre pour donner sa propre version des faits, afin que la population en vienne à être à nos coté.

     

    source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Propagande

     

    Vidéo documentaire sur la propagande(en anglais)

     

     


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  • MédiaQuébec & Le Figaro

     

     

    Les forces armées syriennes et leurs milices, les "chabbiha", ont procédé aujourd'hui à l'exécution sommaire de dix personnes dans le quartier Chamas à Homs (centre) où elles sont entrées après plusieurs heures de pilonnage, selon l'opposition et des militants.

    Selon le Conseil national syrien (CNS, principale coalition de l'opposition), "dix jeunes de Chamas à Homs, ont été exécutés lorsque le quartier a été envahi par l'armée et les chabbiha", les nervis du régime. L'Armée syrienne libre (ASL, rebelles) a dénoncé une "boucherie" à Chamas, accusant l'Iran de "participer aux opérations". Elle a averti que sa riposte "frappera au coeur" les régimes de Damas et de Téhéran, grands alliés.

    Les dix jeunes ont été pris parmi une foule de 350 personnes rassemblées sur la place de la mosquée Bilal après que les soldats et les miliciens les ont appelés à s'y rendre via les haut-parleurs des mosquées.  Le CNS affirme craindre un "terrible massacre".

    Des militants ont confirmé cette version, expliquant que le quartier a été pris d'assaut après un pilonnage et des tirs nourris qui ont semé la panique parmi les habitants.

     


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  • MédiaQuébec & Le Figaro

     

     

    Un journaliste de l'agence officielle syrienne Sana, Ali Abbas, a été assassiné hier à son domicile dans la province de Damas, ont rapporté l'agence et l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). "Dans une nouvelle agression contre la presse nationale et ses cadres, un groupe terroriste armé a assassiné samedi soir le journaliste Ali Abbas, directeur du département des informations locales à l'agence, à son domicile dans la localité de Jdaidet Artouz", a indiqué Sana. Selon l'OSDH, "des hommes armés inconnus ont tué un journaliste de Sana en tirant sur lui à son domicile".

    Vendredi, trois journalistes syriens travaillant pour une chaîne publique ont été capturés par les rebelles alors qu'ils accompagnaient l'armée dans une opération près de Damas.

    Lundi 6 août, le siège de la radio-télévision syrienne à Damas avait été visé par un attentat à la bombe. L'explosion s'était produite dans les bureaux de la direction générale de la radio-télévision officielle, faisant des blessés.

    Quelques jours auparavant, un présentateur de la télévision officielle syrienne Mohammad al-Saïd, enlevé à la mi-juillet à son domicile à Damas, a été exécuté. "Que ceci serve de leçon à tous ceux qui appuient le régime", avait affirmé le Front al-Nosra, un groupuscule extrémiste qui a revendiqué la responsabilité du meurtre.


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  • MédiaQuébec

     

    La Syrie est bel et bien face à un complot de l'extérieur...

     

    ...Mais ce complot vise les deux parties à l'oeuvre sur le terrain(régime et opposition)

     

    Dans tout ce boubier qu'est la Syrie depuis bientôt 18 mois, on pourrait pratiquement penser que la désinformation fait partie de l'information, ou vice-versa. Chacun des deux camps médiatique y vas de ses thèses, complots, etc., afin de discéditer son adversaire sur le plan médiatique. Chacun des camps tente d'avoir raison dans tout les domaines, mais son adversaire lui-aussi. Il y'a bien sûr beaucoup de détails à ré-informer, mais attardons-nous à un détail dans ce grand monde de propagande, soit que la Syrie est confrontée à une menace extrémiste.

     

    Premièrement, un islamiste est, à la base, un pratiquant de l'Islam, peut importe son degré d'implication et de croyance(lien). Donc, déjà en partant, la Syrie fait face à une propagande vraiment générale(trop). C'est comme si on reprochais à des québécois d'être trop catholique. L'Islam est la religion des près de 90% de la population syrienne, donc il est normale qu'il est une forme d'islamisation de la société, surtout que les arabes sont réputés pour être de très bon croyants. Maintenant que ce point(général) est passé, passons au vif du sujet, soit que la Syrie est confrontée à une menace d'islamistes radycaux.

     

    Mais qu'est-ce qu'un islamiste radycal ?

     

    Selon la définition générale de la rue, un islamiste radycal est un croyant qui applique soit à la lettre le Coran, ou bien il le déforme. Dans ce domaine, plusieurs courants se démarquent: le salafisme(lien), qui est de confession sunnite, les talibans(lien ), Front Islamisme Français armé(lien ), et bien d'autres. Pour le commun des mortels, un islamiste radycal est celui qui est prêt à prendre les armes pour la religion. Jusque là, aucun problème de compréhension.

     

    Cependant, là où les choses se corses sont quand on accuse des gens d'islamisme radycal sous une base de preuve infondée.  Parmis les arguments(de base) de certaines personnes, il suffit que quelqu'un dise «allah walbar» pour qu'il soit automatiquement un islamiste radycal. Cet argumentaire fait bien rire pour plusieurs arabophones(dont votre cher modérateur). Premièrement, il est tout à fait assez loufoque de dire qu'une personne disant cette expression est un ilsamiste radycal, pour la simple et bonne raison qu' il s'agit plutôt d'une expression assez répendue dans le monde arabophone.(lien). N'importe qui peut dire cette expression dans la rue sans pour autant être ni même penser comme un extrémiste.

     

    Et pourtant...

     

    Pour plusieurs personnes qui analysent la situation en Syrie, il suffit de voir une personne prononcer la(fameuse) phrase pour être en mesure de l'accuser d'ilsamisme....

     

     

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  • MédiaQuébec & Reuters

     

     

    Au moins onze personnes ont été tuées samedi lors de violents combats qui ont éclaté en banlieue de Damas quand les forces syriennes ont tenté de reprendre des zones prises par les rebelles, ont annoncé des activistes de l’opposition.

    Après trois jours de bombardements à l’arme lourde et par hélicoptère, des chars et des véhicules blindés ont avancé sur Al Tel, un quartier sunnite conservateur situé dans la banlieue nord de Damas, avant d’être repoussés par les rebelles, ont déclaré deux activistes par téléphone.

    Les restrictions imposées aux médias par les autorités syriennes ne permettent pas de vérifier ces informations de manière indépendante.


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